Parle lui de mon silence, de mes insomnies
De mes conflits dansant aux étoiles la nuit
De la solitude, de mon regard quand je l’aperçois
Va lui dire à mon âme sœur qu’à l’ombre de sa flamme
J’aimerais apaiser la pluie de mes larmes
Fatiguée par tant de rancœurs lorsque je pense à lui
Parle lui de moi, dis-lui que j’en veux à la Terre au Ciel
Puisque les mots amers de cette prière, n’ont pas le parfum de ceux qui s’aiment
Mais ne lui dites pas que je souris encore aux accords futiles de nos gestes complices
sans chercher à savoir le pourquoi de notre histoire
To te ra’i, a parau ātu ia na
Na te farii one o te tau
E tūma te noanoa o to maua farereira’a
Inaha ūa uā’a mai te here
Ite hoe taime mana’o ‘ore hia
E to te ra’i ia ite ‘oia to’u mauiui
Parle lui de moi, dis-lui que j’en veux à la Terre au Ciel
Puisque les mots amers de cette prière, n’ont pas le parfum de ceux qui s’aiment
Mais ne lui dites pas que je souris encore aux accords futiles de nos gestes complices
sans chercher à savoir le pourquoi de notre histoire (bis)
Parle, lui dis-lui qu’un jour on se retrouvera
Quelque part au hasard tout là-bas
Où l’ombre et le crépuscule se rejoignent parfois.
