(BOLERO)
MON CÅ’UR EST UN VIOLON
SUR LEQUEL TON ARCHET JOUE
ET QUI VIBRE TOUT LE LONG
APPUYE CONTRE TA JOUE
TANTÔT L'AIR EST VIF ET GAI
COMME UN REFRAIN DE FOLIE
TANTÔT LE SON FATIGUE
TRAÃŽNE AVEC MELANCOLIE
DANS LA NUIT QUI S'ACHEVE
MON CÅ’UR EST PLEIN DE TOI
LA MUSIQUE EST UN RÊVE
QUI VIBRE SOUS TES DOIGTS
SOUS TES DOIGTS LA CARESSE
REND MON DESIR SI FORT
IL VA JUSQU'À L'IVRESSE
ET MEURT A LA FIN DE L'ACCORD